Une Grosse Nouille Nommee Benoit Ep 07 : Un Baiser Sur La Bouche
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT
EP 07 : UN BAISER SUR LA BOUCHE
J'arrivais rapidement de l'autre côté, je bandais toujours et mon cur battait fort. Il m'avait bien chauffé la cervelle là. L'allumeuse, il l'avait fait exprès. En tout cas c'était réussi, je tremblais et ce n'était pas l'eau fraîche du lac ni les trois cent mètres de nage
J'étais complètement retourné !
Sur l'île je voyais Étienne, il était toujours en train de se branler, il prenait son temps, il prenait le temps d'en profiter ! C'est vrai que c'était d'une beauté époustouflante
Je veux dire le paysage avec ce lever de soleil
Étrange sensation, j'étais allumé, sexuellement surexcité, je bandais comme un bandard fou, j'ai vu ça dans une BD, un mec qui bandait tout le temps et que les filles cherchaient à rattr et c'était même pas une BD porno en plus ! Je bandais sans pouvoir me calmer mais je n'avais pas envie de me branler
Je ne pensais plus qu'à la queue d' Étienne, j'avais une envie de dingue de me la prendre dans le cul. A cet instant je me serais damné pour qu'il m'encule !
Mais pourquoi je me suis sauvé, j'aurais mieux fait de lui sauter dessus, il était en train de m'allumer, il ne demandait que ça
J'en suis sûr ! Mais qu'est ce qu'il va penser de moi ? Il ne va tout de même pas s'imaginer que je suis hétéro ? Ou pire !
Qu'il ne me plaît pas ? Parce qu'il me plaît Étienne mais j'ai peur que ma petite sur ne me coupe en morceaux, ne me passe au hachoir et ensuite ne m'étrangle avant de m'engueuler grave
J'y retourne !
Non j'y retourne pas !
Bon je le fais à pile ou face
Je fouillais dans la poche de mon pantalon mais ne trouvais rien
Avec une carte bleue on peut jouer à pile ou face ? Je suis pas vraiment sûr là ? J'étais sec. Je passais mon pantalon rapidement et je m'apercevais ensuite que j'avais oublié de mettre des sous vêtements
Bon c'est pas grave, je finissais tout de même par débander.
Étienne arrivait au moment ou j'enfilais un T-shirt, j'étais habillé et je me disais que ment je me sentirais mieux. Il était toujours aussi magnifique, bronzé, musclé avec une grosse bitte molle qui pendait et se balançait à chacun de ses mouvements, c'était excitant, je sentais de nouveau ma queue qui se redressais. Mais bon, j'étais habillé et ça ne se verrait pas
Étienne : Tu aurais du faire comme moi. Tu bandes encore !
Je sentais toujours ma queue qui se redressait. Donc
Mais bon, j'étais habillé et ça ne se verrait pas trop, enfin avec un peu de chance
Étienne se séchait, il me jetais des regards avec un petit sourire, il s'habillait en prenant bien son temps et en commençant par le haut !
Étienne : Je t'emmène faire un tour sur les rives du lac. Sac à dos uniquement j'autorise un coussin gonflable, on emporte une tente et le stricte nécessaire
On fait ça à la dure ! Je vais faire de toi un homme !
Moi : Mais pourquoi tu me dis des trucs comme ça ! Je t'ai rien fait moi !
Il pausait sa main sur mon épaule d'un geste affectueux, un geste d'une amitié virile, j'aimais bien ce contact, je sentais ma queue qui devait être un peu redressée et la force de son bras. Je sentais la chaleur de son corps, et voyais sa queue se balancer juste devant moi, à quelques centimètre, elle frôlait mon pantalon. Il m'allumait encore et j'avais bien l'impression qu'il y prenait du plaisir.
Étienne : Mais non mon petit bonhomme. Je t'aime bien tu sais, et tu verras tu vas adorer ce séjour ! L'année prochaine tu viendras même avec tes copines
Il terminait par une légère pression de la main sur mon épaule, j'avais envie de le prendre dans mes bras, de me jeter à genoux devant lui et de lui sucer la queue
Mais je ne sais pas pourquoi, j'étais bloqué.
Je regardais vers le sol et
La vache
Je bandais comme un malade et on ne voyait que ça ! Mais bon ça n'a pas l'air de le déranger.
Il enfilait un short.
Étienne : Tu devrais faire comme moi et mettre un short, a moins que tu ais peur de montrer tes mollets
Tu as de beaux mollets tu sais !
D'habitude quand on veut séduire quelqu'un on lui dit plutôt
'' T'as de beaux yeux tu sais ! ''. Mais bon j'acceptais le compliment !
Moi : Mais je n'ai que deux pantalons moi ; Tu ne voulais pas que j'emmène ma garde robe d'urgence
Étienne : Approche ! Tu vois là cet ourlet juste au dessus des genoux et bien il y a une fermeture à glissière.
Je le laissais faire, il était amusé de voir que je bandais toujours et me décrochais le bas de mon pantalon
Ça se décrochait ce truc !
Il ne savent vraiment plus quoi inventer dans la mode spécial camping sauvage. Je me retrouvais finalement en short moi aussi
Je ne sais pas si j'avais l'air malin à ce moment précis mais j'étais en short avec un grand sourire et une érection qui était tout sauf discrète. Sans prévenir Étienne me prenait en photo !
Tout ça m'avait un peu calmé et je ne faisais plus le guignol, je préparais mon sac en suivant les indications d' Étienne, c'était léger, très léger mais ça devait être pour quelques heures, enfin j'espère
On rangeait tout ce qui était précieux ou fragile dans le coffre de la voiture, sous clé. On démontait la tente et on se la partageait
C'était bien la peine tout ce travail la veille au soir, en plus on l'emportait avec nous
Et il va m'emmener ou comme ça ?
Étienne : Maintenant en marche ! Tu me suis bonhomme ?
Je faisais oui de la tête, je bandais moins, ça allait mieux. Je le suivais.
On commençait par un chemin pas très large, je marchais donc derrière lui. On parlait de tout et de rien. J'admirais ses mollets, son cul
Ça lui donnait de l'allure cette tenue, il était sexy. Il me parlait de son boulot, je n'osais pas lui demander s'il fallait un permis pour conduire un microprocesseur
J'avais trop peur de dire une connerie.
On s'enfonçait dans la forêt, il n'y avait plus aucune trace du lac et j'avais l'impression que le chemin montait. À un moment entre les arbres d'un côté du chemin j'apercevais le haut des arbres en contrebas. Nous avions pris de l'altitude et on ne tardait pas à arriver sur un espace libre et plat. Étienne me faisait signe de le suivre. Il y avait une ouverture entre les arbres, c'était le sommet d'une falaise, le paysage était époustouflant de beauté, on était largement au dessus de la forêt et plus loin tout en bas il me montrait un long serpent bleu, c'était le lac.
Étienne : Tu vois là bas, c'est l'île ou nous étions ce matin, un peu plus à gauche le campement, et la voiture est là. D'ici on ne peut pas la voir
C'est beau non ?
Moi : C'est magnifique, j'ai jamais rien vu de pareil.
Étienne : Tu ne viens jamais à la campagne ?
Moi : Bein non ! Mais je suis monté en haut de plein de tours géantes
Étienne : C'est pas tout à fait pareil. Bon on fait une pause, on mange et on repart ! Ici on peut faire un feu !
On récupérait des branches, et on faisait chauffer le repas. Il est bien organisé Étienne, je sais pas comment il fait. Moi je m'en sors bien aussi mais uniquement dans un restaurant. Là il n'y avait personne pour prendre la commande. On se reposait, je restais un peu inquiet, nous n'avions emporté que nos sacs, une tente, un équipement qui me paraissait un peu sommaire, de l'eau bien sûr mais
On mangerais quoi demain ?
On parlait oh pour ça on parlait ! Je lui racontait ma jeunesse, il me disait comment il avait rencontré Hélène.
Étienne : Donc tu n'as jamais touché à une fille ?
Moi : Mais tu es folle ! Oh pardon je voulais dire euh , non jamais !
Il rigolait de ma réaction.
Moi : Et toi tu n'a jamais touché à un mec ?
Étienne : Mais bien sûr que si !
Moi :
?
!
Étienne : On dirait que ça t'étonne ?
Moi : Bein oui, un peu quand même !
Tu me racontes ?
Étienne : Non !
Moi : Beuhhhh ! Tu dis ça rien que pour m'embêter ! Je te crois pas d'abord !
Étienne : J'étais jeune, je devais avoir quatorze ans pas plus
C'était pendant les vacances au lac
Moi : Au lac ?
Étienne : Oui on était venu avec nos parents, un copain d'école, il avait mon âge. Les plus âgés s'occupaient à je ne sais quoi, nous on se baignait dans le lac. On a traversé pour se retrouver sur l'île, là ou on était tout à l'heure
On était à poil, nos parents font du naturisme.
Moi : Sur l'île ou on était ce matin ?
Étienne : Exactement ! Quand on arrivait sur l'île je commençais à bander, Path également. Tant qu'on était sur la petite plage ou on s'était allongé on pouvait nous voir depuis le camp, on décidait donc de nous enfoncer un peu dans l'île
Comme tu peux voir elle n'est pas bien grande, deux cent mètres sur à peine plus de cent mètres.
J'écoutais, il commençait à mintéresser
Étienne : Au centre de l'île il y avait un champ sans arbres, je pense qu'ils on du pousser un peu depuis, c'était il y a plus de dix ans. On s'allongeait sur l'herbe et on commençait à se branler. On se regardait et on se motivait l'un l'autre. A un moment Path s'est arrêté, il est venu s'asseoir à coté de moi. Il avait une toute petite bite
Enfin toute petite je ne sais pas, j'ai pas trop d'éléments de comparaison mais par rapport à moi elle était toute petite. Plus petite que la tienne en tout cas.
Moi : Je suis assez bien doté
Étienne : Lui moins ! Il me regardait avec une sorte d'avidité, un peu comme toi ce matin
Moi : Peuh
Arrête de te moquer et raconte, je t'écoute !
Étienne : Il semblait fasciné, je ne bougeait plus, il me regardait et me demandait juste
'' Je peux ? '' . J'ai pas compris tout de suite ce qu'il voulait faire mais.
Moi : Moi je sais il voulait te sucer la bite ?
Étienne : Mais non, il voulait juste la mesurer !
Moi : Tu déconnes, j'y crois pas ! En tout cas c'est pas ce que j'aurais fait moi !
Étienne : Oui mais en attendant toi tu n'as rien fait !
Moi : Et toc ! Prend ça dans les dents
Mais raconte plutôt la suite. C'était pas pour mesurer dis ?
Étienne : Non bien sûr, il voulait me la sucer. C'est ce qu'il a fait, j'étais surpris mais je l'ai laissé faire
Moi : Tu m'étonnes !
Étienne : Bon il avait du mal à avaler ma queue, mais il y mettait du cur. Il essayait vraiment, il me caressait le gland, tu as vu je suis circoncis ? ( je faisais oui de la tête ) il me branlait, il me suçait, il s'appliquait le mec. Bon au bout d'un moment je me suis aussi occupé de lui, je le masturbais avec douceur, je crachais dans ma main et je le masturbais comme ça, je le sentais qui se contractait, il avait l'air d'aimer.
Moi : Ça me rappelle quand j'étais à la petite école avec un copain à ma sur
Mais tu dis pas que je t'en ai parlé, elle ne m'a toujours pas pardonné !
Il me regardait bizarrement après ce commentaire
Étienne : La petite école ?
Moi : T'occupe pas je te raconterai. Vas y continue, tu mintéresses.
Étienne : Tu es du genre précoce toi !
Moi : Tu sais moi je suis un rapide, un peu comme dans le magasin de sport ou on a acheté mon équipement
Étienne : Il s'est passé quoi dans le magasin ?
Moi : Bein tu as remarqué que j'ai fait la bise au vendeur en partant éh éh éh je l'avais sauté dans une cabine d'essayage juste avant mais bon ça c'est une autre histoire et si on mélange tout on ne va plus rien comprendre vas y raconte il a fait quoi ton mec là, ça commence à mintéresser ton histoire j'aurais jamais imaginé ça de toi mais c'est cool vas y raconte il a fait quoi là ton mec il a fait quoi ?
Étienne : On se calme, respire quand tu parles, ça ira mieux
Je l'impressionnais et il voulait y goûter le gars. Il me suçait comme il pouvait, il était pas au top, je le laissais faire mais par moment je sentais ses dents
Moi : Ah les dents c'est pas cool ça, c'est les débutants qui savent pas s'y prendre.
Étienne : Bon tu me laisses continuer ?
Moi : Oui, vas y, continue je ne dis plus rien.
Étienne : Avec un main je lui caressais les cheveux, et de temps en temps avec un peu de malice j'appuyais sur la tête
Il résistait et faisait des bruits bizarres et amusants, ça me faisait rigoler. Avec l'autre main, je lui caressais la cuisse, il était à quatre pattes juste à côté de moi, je remontais jusqu'à sa queue et je le masturbais un peu. Ça me faisait tout drôle, j'ai l'habitude d'avoir une queue plus grosse dans la main. Il parait même que c'est trop gros d'après certaines, tu sais il y a des filles qui en ont peur.
Moi : Les filles
Pffff
Faut pas écouter ce qu'elle racontent, elles n'y connaissent rien
Par contre c'est vrai, c'est énorme !
Étienne : J'avais envie de faire un truc plus amusant aussi je lui caressais les fesses, j'essayais de lui glisser un doigt dans le cul mais là il se contactait et en plus ça ne glissait pas, aussi
Moi : Ouai ! Là ça devient intéressant ! Tu as fait quoi dis ? Tu as fait quoi ?
Étienne : Mais laisse moi parler si tu veux le savoir
Donc
Moi : Excuse moi ! Je ne dis plus rien ! Tu as fais quoi dis ? Tu as fait quoi dis ?
Étienne : ( Il poussait un grand soupir ) J'ai craché dans ma main et je lui ai lubrifié le cul, il se laissait faire, j'ai fais ça plusieurs fois et sans prévenir je lui ai glissé un doigt dans le cul !
Moi : Direct ! Oué c'est bon ça ! Et lui il a fait quoi dis
Lui il
Étienne : Ça à l'air de te plaire cette histoire !
Moi : Ça me rappelle quand j'étais tout petit.
Étienne : A la petite école ?
Moi : Non mais l'année suivante. Mais ne te laisse pas distraire, vas y raconte, vas y raconte, je ne dis plus un mot !
Juré !
Étienne : ( il reprenait en rigolant ) . Là je l'ai entendu gémir, il essayé de relevé la tête mais j'appuyais dessus
Je l'ai entendu gémir
J'étais plus fort que lui aussi j'ai continué, en quelques secondes il a éjaculé. Il avait le cul bien serré et je glissais un autre doigt !
Je ne disais plus rien je le regardais, j'avais la bouche ouverte, je devais avoir l'air bête il rigolait en me voyant.
Étienne : Il essayait de se dégager mais je le retenais, je continuais à agiter mes doigts dans son cul et lui il continuait à me sucer. Ça commençait à venir, ma queue s'enfonçait de plus en plus profond dans sa gorge
J'ai continué un moment comme ça
J'appuyais sur sa tête, j'agitais mes doigts dans son cul, et lui il essayait de se dégager
Au bout d'un moment je l'ai entendu pousser des cris étranges, il gémissait, je ne comprenait pas ce qui se passait tout de suite mais à ce moment il a éjaculé une deuxième fois. J'avais l'impression qu'il n'essayait plus vraiment de se dégager, il se tordait dans tous les sens mais là il jouissait vraiment.
Étienne : Ne me regarde pas comme ça avec la bouche ouverte, là tu sais que tu as vraiment l'air bête
Moi : Des bêtes ou ça des bêtes. ( je me relevais et regardais autour de moi ) Je ne vois pas de bêtes moi. Arrête de dire des trucs comme ça tu sais que j'ai peur des bêtes
Pourtant je suis très courageux !
Il était éclaté de rire.
Étienne : Quelle grosse nouille tu fais. J'ai dit '' Tu as l'air bête '' ! Il n'y a pas de bête
Sauf toi !
Moi : C'est malin ça mais ça ne me dit pas ce qu'il a fait le mec, il a fait quoi et toi tu as fait quoi ?
Étienne : Donc je sentais bien qu'il jutait et il jouissais
Moi : Tu l'as enculé dis, tu l'as enculé ?
Étienne : On était jeunes
J'y ai bien pensé mais j'ai pas osé et puis
Moi : Remarque moi j'aurais bien aimé être à sa place mais bon lui il aurait dégusté parce que le truc que tu as c'est pas pour les débutants
Étienne : Je disais donc que j'y ai bien pensé mais
Moi : Remarque je dis ça mais à son âge je n'aurais peut être pas été volontaire. C'est quand même du gros calibre.
Étienne : J'y ai bien pensé donc mais
Moi : C'est vrai que un truc comme ça quand j'étais jeune ça m'aurais fait peur.
Étienne : Donc mais c'est à ce moment que
Moi : Mais maintenant j'ai plus peur du tout
Maintenant je suis un homme !
Étienne :
( il ne disait plus rien )
Moi : Oui !
Étienne :
( toujours plus rien )
Moi : Je t'écoute !
Étienne : Ça va je peux parler ?
Moi : Oui, oui, oui, vas y
Je t'écoute
Je ne dis plus rien
C'est juré
Étienne : C'est à ce moment donc
que
j'ai éjaculé dans sa bouche !
Moi : J'adore ça moi ! Mais bon je dis plus rien ! Parole ! Vas y continue !
Étienne : ( en levant les yeux au ciel ) Ensuite je me suis calmé, je lui ai lâché la tête et j'ai retiré mes doigt de son cul. Il avait l'air essoufflé. Finalement malgré les dents j'avais bien aimé moi ! Lui c'était autre chose
On est retourné se baigner et on a discuté un moment. Il m'a dit qu'il n'avait pas aimé mais deux jours plus tard il voulait recommencer
Moi : Et tu as recommencé dis ? Tu as recommencé ? Tu as recommencé plusieurs fois dis ? Tu lui as défoncé le cul dis ?
Tout en parlant on ramassait tout, on prenait soin de vérifier que le feu était parfaitement éteint, même si c'était un endroit dégagé qui ne présentait pas de risque d'incendie. On était prêts à partir
Moi : Tu me raconte la suite dis ?
Étienne : Si tu es sage je te raconterai la suite. En tout cas tu as aimé cette histoire on dirait
Moi : Pourquoi tu dis ça ?
Étienne : Tu bandes !
Moi : Tu ne bandes pas toi ?
Étienne : Tu peux me croire, il n'en faudrait pas beaucoup plus.
On était sur le point de repartir
Étienne : Alors tu me racontes ce qui s'est passé, ce que j'ai loupé dans le magasin
Moi : Avec le marchant Damien ?
Étienne : Je crois que ton Damien en fait s'appelait Laurent !
Moi : Tu es sûr ?
Étienne : Oui !
Étienne : Dis qu'est ce qui s'est passé dis ? Qu'est ce qui s'est passé dis ? Qu'est ce qui s'est passé dis ? Vas y raconte dis ! Vas y raconte dis !
Moi : Ouai mais là tu te moques de moi !
Étienne : Oui mais avec beaucoup de tendresse !
Il se retournait vers moi, passait une main derrière ma tête, me tirait vers lui et me donnait un baiser sur la bouche ...
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